Fragile, les Cahiers de l’Agart n°3

Très heureuse d’avoir contribué à ce troisième numéro des Cahiers de l’Agent aux côtés de Christian Bonnefoi, Jean-Luc Nancy, Renaud Ego, Bernard Moninot, Michel Guérin, Clélia Nau… avec « le mobile et la fugacité du motif », à propos d‘entrelacs-sors de là


« L’art contemporain a fait de la fragilité une compagne qui s’est imposée avec la grâce et la discrétion qui caractérise son être. Elle est là dès le début, surgie dont on ne sait où, avec l’une des premières icônes du XXe, L’Élevage de poussière (Duchamp – Ray). Elle est là sous toutes ses facettes : d’abord en tant que matériau susceptible de s’évanouir au moindre courant d’air ou de se briser au moindre toucher (les sculptures d’ombre de Tuttle) ; l’usage du pigment pur, non‑lié, volatile. Le vent a son mot à dire, comme c’est souvent le cas depuis Léonard. » Christian Bonnefoi.

Les Cahiers de l’Agart, revue d’art contemporain, doit sa naissance à l’amitié, aux rencontres et discussions d’un certain nombre d’artistes, d’historiens et de philosophes, lassés du discours hégémonique centré sur le marché de l’art. Le propos est simple, redonner à l’œuvre la place centrale et la resituer dans son environnement « traditionnel » aux dimensions multiples : théorique et poétique, philosophique et expérimentale. 

Voir la recension des Cahiers de l’Agart n°3, fragile, par Dina Germanos Besson

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